Scenarien "Ascension au rien" - VI-6   [ D   E   F ]
Das Ende - The End - La fin - El fin (Herbert Gruhl 1992)
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Sur 400 pages, Herbert Gruhl donne sa vision de 1992 sur le développement des civilisations humaines et l'état de la planète sous la pression de notre civilisation.
Dans son dernier chapitre, réproduit ci-dessours, Herbert Gruhl en tire la conclusion que nous sommes perdus.

(Le texte a été fait par un programme de traduction. La révision est en cours. Bonne chance avec la compréhension du texte brut.)
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Herbert Gruhl: "Himmelfahrt ins Nichts", Munich 1992 [S. 380-388 (Réproduction et traduction sans but lucratif.)]

ASCENSION DANS LE RIEN
La planète pillée devant la fin

Partie VI chapitre 6 : "Y a-t-il un après-cela ?"

Des ciels et la terre passeront, ensemble  
avec nous. Si cela terminera tout à ce moment là ?
Nous ne le savons pas.
                                       

Le philosoph chinois Liä Dsi                      

Il y a des anciennes déclarations convaincantes que le délai de la vie sur notre planète est limité. Particulièrement célèbre celle de Friedrich Nietzsche qu'il écrivait deux fois avec une légère différence : »Dans un coin quelconque et éloigné de l'univers, écoulé d'une manière scintillante dans des systèmes solaires innombrables, il y avait une fois un astre, sur lequel des animaux savants découvrirent la cognition. C'était la minute la plus hautaine et la plus menteuse de l'histoire mondiale, mais tout de même seulement une minute. Après quelques souffles de la nature se figeait l'astre, et les animaux savants devaient mourir. Il était aussi au temps : car se vantaient avoir reconnu déjà beaucoup, pourtant, ils avaient appris finalement, au grand déplaisir, qu'ils avaient reconnu faussement tout. Ils mouraient et juraient la vérité dans le décès. C'était la manière de ces animaux désespérés qui avaient inventé la reconnaissance.«64 Si Nietzsche parle de quelques souffles - face à l'éternité - il pense dans des millions d'années, jusqu'à ce que notre terre refroidisse.
[< révision, à contrôler par une personne de langue française. A contrôler et traduire >]


Il a en vue le développement géologique ainsi que déjà Liä Dsi au quatrième siècle devant Christus65 ainsi qu'Oswald Spengler qui parlait que finalement la terre et le système solaire disparaissent werden.66 Cependant Nietzsche reconnaissait aussi l'autre danger que les animaux sages pourraient mourir de sa connaissance, non seulement par l'engourdissement de la terre. Ils avaient cru pouvoir faire confiance en ses propres capacités et pouvoir les déplacer dans les actions changeant le monde. Aujourd'hui, 120 ans plus tard, quelques gens reconnaissent que cela a été une erreur, et le maudissent déjà. Mais n'est-il pas un phénomène grandiose qu'une manière des animaux sages est capable de détruire à moi plus propre hand toute la vie sur notre planète et avec cela aussi à lui-même ? Qui peut contester qu'un tel génie fait partie, comment elle ne revient, peut-être, dans tout l'univers aucune deuxième fois ? Mais pas nous des gens ne les avons obtenu, mais la nature nous les a donné.


[381] du génie de la personne fait partie aussi qu'il a rêvé les royaumes des cieux magnifiques à lui-même à toutes les tentes. Sur les millénaires, les religions différentes déplaçaient De l'autre côté tout l'enviable dans. Après la mort, l'âme tourmentée montera dans les ciels éternels de la félicité. Finalement les Américains d'euro techniquement victorieux croyaient pouvoir aménager le ciel sur cette terre. Sa nouvelle foi acceptait les trains religieux, par conséquent il en venait à des guerres autour du chemin juste au ciel à des terres. Le chemin communiste échouait. Avec cela le chemin capitaliste démocratique semble avoir obtenu la victoire; mais c'est une tromperie qui finit mortellement. Car justement sa technique beaucoup plus efficace et économie ruinera encore plus vite obligatoirement la terre d'autant plus qu'il est livré, en outre, à l'explosion de population qu'il a seulement permis, De bonne volonté avec embarras. L'ouest "libre" vit aussi dans le fantasme terrestre comme le communisme. L'illusion la plus extrême n'est Rien de l'extrait des gens dans l'espace cosmique, donc dans! La conséquence tragique des dernières idées d'illusion de la personne est qu'il ne transporte Rien sa base de vie, sa planète la terre dans. Pourtant, il reste la fascination de notre planète bleue qu'un développement incompréhensible à soi pouvait atteindre un point de culmination pareil. Notre connaissance en fait partie aussi que ne nous est plus ouvert, En outre parce que cette fois toutes les possibilités physiques que notre planète a commandé ont été vidées. Avec cela le retour nous est coupé. Les bateaux de sauvetage ont brûlé; mais les plus grands ne le savent pas et ne le sauront jamais. Maintenant, la tragédie peut finir par un coup de tonnerre atomique ou dans Dahinsiechen moins agissant sur les scènes des natures vivant. à ceux-ci la personne fait partie. Devient encore plus dernier les batailles wogende non pondérables en plus et en moins mènent avec la sortie incertaine en détail, mais avec le certain que la fin schließliche du genre la personne concerne. Il n'est aucune lutte »la personne hie — la nature hie qui est menée sur cette planète, mais une guerre meurtrière dans la nature, puisque la personne est sa partie. Non plus seulement une particule, oh non; comment pourrions-nous qualifier atomique et avec les poisons chimiques la nature armée encore de "la particule" ?

[381] Zur Genialität des Menschen gehört auch, daß er sich zu allen Zelten herrliche Himmelreiche erträumt hat. Über die Jahrtausende verlegten die verschiedenen Religionen alles Erstrebenswerte ins Jenseits. Nach dem Tode werde die geplagte Seele in die ewigen Himmel der Seligkeit aufsteigen. Zu guter Letzt glaubten die technisch siegreichen Euroamerikaner, den Himmel auf dieser Erde einrichten zu können. Ihr neuer Glaube nahm religiöse Züge an, folglich kam es zu Kriegen um den richtigen Weg zum Himmel auf Erden. Der kommunistische Weg scheiterte. Damit scheint der kapitalistisch-demokratische Weg den Sieg errungen zu haben; doch das ist eine Täuschung, die tödlich endet. Denn gerade seine weit effektivere Technik und Wirtschaft wird zwangsläufig die Erde noch schneller ruinieren, zumal er überdies der Bevölkerungsexplosion, die er erst ermöglicht hat, Willig hilflos ausgeliefert ist. Der »freie« Westen lebt genauso in irdischen Wahnvorstellungen wie der Kommunismus. Der extremste Wahn ist der des Auszugs der Menschen in den Weltraum, also ins Nichts! Die tragische Folge der letzten Wahnideen des Menschen ist, daß er seine Lebensbasis, seinen Planeten Erde ins Nichts befördert.
Dennoch bleibt es die Faszination unseres blauen Planeten, daß eine an sich unbegreifliche Entwicklung einen derartigen Kulminationspunkt erreichen konnte. Dazu gehört auch unsere Erkenntnis, daß uns ein Darüberhinaus nicht mehr offen steht, weil diesmal alle physischen Möglichkeiten, die unser Planet geboten hat, ausgeschöpft worden sind. Damit ist uns der Rückweg abgeschnitten. Die Rettungsschiffe sind verbrannt; doch die meisten wissen es nicht und werden es nie wissen.
Die Tragödie kann nun mit einem atomaren Donnerschlag enden oder in einem weniger bühnenwirksamen Dahinsiechen der lebenden Wesen. zu denen der Mensch gehört. Letzterer wird noch unwägbare hin und her wogende Kämpfe führen mit ungewissem Ausgang im einzelnen, aber mit gewissem, was das schließliche Ende der Gattung Mensch betrifft.
Es ist kein Kampf »hie Mensch — hie Natur, der auf diesem Planeten geführt wird, sondern ein mörderischer Krieg innerhalb der Natur, da ja der Mensch ein Teil von ihr ist. Nicht mehr nur ein Teilchen, oh nein; wie könnten wir ein atomar und mit chemischen Giften bewaffnetes Wesen noch als »Teilchen« bezeichnen? Leonardo


Leonardo [382] puisque, bien, Vinci, il a été premier qui a saisi toute l'horreur de la personne armée de technique. Et il savait exactement dont il parlait, puisqu'il a contribué lui-même beaucoup à son armement. Ainsi, il ne fait pas partie des "prophètes" qui ont mis en raison de l'inspiration divine ou d'une »voix intérieure« des prédictions dans le monde. Je ne m'engage pas dans les tels. Il restait laissé les théologiens prendre Phantasmagorien comme »La révélation de Johannes« dans la Bible. Leonardo apercevait en fait de monter la personne moderne une phrase explosive, détruire la nature totale se disposait. C'est pourquoi, il appelait le genre humain »un peu d'inutile sur le monde, tout le créé seulement détruit! «67 Il caractérise la personne non seulement comme inutile. mais comme extrêmement nuisible pour Lebeweit. De cela le soupir de coup : »O la terre. pourquoi ne t'ouvres-tu pas ? Pourquoi ne les renverses-tu pas dans les crevasses profondes de tes abîmes immenses et cavernes et n'offres plus au ciel la vue d'une non-nature si horrible et horrible ? «68 Nietzsche qualifiait 400 ans plus tard la personne "qu'une petite espèce animale extravagante. — l'heureuse manière — son temps a; la vie sur la terre donc un moment, un incident, une exception sans conséquence, quelque chose qui restent peu important pour le caractère total de la terre... «Plus tôt il avait 69 dix ans les idées suivantes : »Tout le Menschentum est, peut-être, seulement une phase de développement d'une espèce animale certaine de la durée limitée : ainsi la personne du singe peut est devenu et de nouveau le singe deviendra pendant que Personne n'est là, à cette sortie de comédies surprenante d'une manière quelconque un intérêt prend... comme ça un Verhäßlichung beaucoup de plus en haut augmenté et approfondissement limité de la personne saurait aussi par la dégradation einstmaligen d'Erdkultur généraux. jusqu'à Affenhafte, sont provoqués. «70 Nietzsches ajoutait à l'époque encore prometteur :» Droit parce que nous pouvons envisager cette perspective, nous sommes, peut-être, dans la place pencher d'une telle fin de l'avenir.« D'autre part l'idée audacieuse suit également dans "l'humain, Allzumenschliches« : »L'erreur a fait des gens des animaux; est-ce que la vérité devait être dans la place faire un animal de la personne de nouveau ? «71
[382] da Vinci ist wohl der erste gewesen, der die ganze Furchtbarkeit des technikbewaffneten Menschen erfaßt hat. Und er wußte genau, wovon er sprach, da er selbst nicht wenig zu dessen Bewaffnung beigesteuert hat. Somit gehört er nicht zu den »Propheten«, die auf Grund göttlicher Eingebung oder einer »inneren Stimme« Weissagungen in die Welt gesetzt haben. Auf solche lasse ich mich nicht ein. Es blieb den Theologen überlassen, Phantasmagorien wie »Die Offenbarung des Johannes« in die Bibel aufzunehmen. Leonardo erblickte im Heraufkommen des modernen Menschen einen Sprengsatz, der die gesamte Natur zu zerstören sich anschickte. Darum nannte er das Menschengeschlecht »etwas Unnützes auf der Welt, das alles Geschaffene nur vernichtet!«67
Er kennzeichnet den Menschen nicht nur als unnütz. sondern als höchst schädlich für die Lebeweit. Darum der Stoßseufzer: »O Erde. warum tust du dich nicht auf? Warum stürzest du sie nicht in die tiefen Spalten deiner riesigen Abgründe und Höhlen und bietest dem Himmel nicht mehr den Anblick eines so grausigen und entsetzlichen Unwesens?«68
Nietzsche bezeichnete 400 Jahre später den Menschen als »eine kleine überspannte Tierart. die — glücklicher Weise — ihre Zeit hat; das Leben auf der Erde überhaupt ein Augenblick, ein Zwischenfall, eine Ausnahme ohne Folge, etwas, das für den Gesamtcharakter der Erde belanglos bleibt...«69 Zehn Jahre früher hatte er folgende Gedanken: »Vielleicht ist das ganze Menschentum nur eine Entwicklungsphase einer bestimmten Tierart von begrenzter Dauer: so darf der Mensch aus dem Affen geworden ist und wieder zum Affen werden wird, während Niemand da ist, der an diesem verwunderlichen Komödienausgang irgend ein Interesse nehme... so könnte auch durch den einstmaligen Verfall der allgemeinen Erdkultur eine viel höher gesteigerte Verhäßlichung und endliche Vertiefung des Menschen. bis ins Affenhafte, herbeigeführt werden.«70 Nietzsche fügte damals noch hoffnungsvoll hinzu: »Gerade weil wir diese Perspektive ins Auge fassen können, sind wir vielleicht im Stande, einem solchen Ende der Zukunft vorzubeugen.« Andererseits folgt ebenfalls in »Menschliches, Allzumenschliches« der kühne Gedanke: »Der Irrtum hat aus Tieren Menschen gemacht; sollte die Wahrheit im Stande sein, aus dem Menschen wieder ein Tier zu machen?«71


Qui pourrait avoir l'idée que précisément Mao Tse-tung venait exactement [283] au même raisonnement ? Mot à mot : »La société communiste aura un début et une fin... Il n'y a rien dans le monde qui ne naissent pas, se développe, disparaît. Des singes devenaient des gens, l'humanité naissait. A la fin, le genre humain disparaîtra aussi, de lui devient, peut-être, un peu d'autre, et alors, la terre cesse aussi se composer. La terre s'éteindra, le soleil refroidira.« 72 Mao se référait avec cela à l'universel savant allemand Ernest Haeckel (1834-1919) qui jugeait du développement mondial que ni un objectif certain ni une fin particulière (dans l'esprit de la raison humaine) n'est à lui prouver. Ainsi se faisaient peut-être ramener de Mao et les avis de Nietzsche sur Haeckels. Typiquement Mao n'a aucun testament laissent, puisqu'il savait en raison de sa philosophie que les successeurs ne se tiendraient pareils, de toute façon, à rien. Le changement continuel porte ailleurs là les gens entièrement, quand ils aimeraient volontiers. La vérité serait tout simplement ce qui est nécessaire pour survivre comme l'être vivant. Ainsi en vue, la culture technique totale aurait été Irrrum grandiose. Dans cette direction se trouve la considération de Robert Ardrey : »S'il y a un espoir pour la personne, parce que nous sommes animaux.« Avec cela il met dessous 73 que l'instinct bestial avec la volonté pourrait encore être assez fort à la vie tout au moins dans un reste du genre humain pour supporter les conditions de vie widrigsten par adaptation aussi. Aux périodes glaciaires, cela n'aura pas été autre, mais à l'époque il n'y avait aucun poison imaginé par les personnes. La condition principale d'une survie de la personne était naturelle que les grandes parties de l'empire de plantes et règne animal restaient. Mais la personne menace de leur dérober cette chance. Le complexe atomique avec tous ses longs de temps effets met en danger la réserve de toute la vie plus haute sur notre planète, non seulement l'humain. Une grande guerre atomique avec la nuit atomique suivante codétruirait l'empire de plantes et règne animal. Il y a déjà les films de cela. Même alors, encore les insectes primitifs et les vers de terre sauraient, peut-être, la survie ainsi que certaines simples plantes. Aussi sur l'autre vie dans les mers, quelque chose peut être prédit difficilement. Est-ce que une nouvelle évolution était possible plus que les millions d'années ?

[383] Wer könnte darauf kommen, daß ausgerechnet Mao Tse-tung exakt [283] zum gleichen Gedankengang kam? Wortwörtlich: »Die kommunistische Gesellschaft wird einen Anfang haben und ein Ende . . . Es gibt nichts in der Welt, das nicht entsteht, sich entwickelt, verschwindet. Affen wurden zu Menschen, die Menschheit entstand. Am Ende wird auch das Menschengeschlecht verschwinden, aus ihm wird vielleicht etwas anderes, und dann wird auch die Erde zu bestehen aufhören. Die Erde wird erlöschen, die Sonne wird erkalten.«72 Mao berief sich dabei auf den deutschen Universalgelehrten Ernst Haeckel (1834—1919), der über die Weltentwicklung urteilte, daß ihr weder ein bestimmtes Ziel noch ein besonderer Zweck (im Sinne der menschlichen Vernunft) nachzuweisen sei. Somit ließen sich vielleicht Maos und Nietzsches Ansichten auf die Haeckels zurückführen. Bezeichnenderweise hat Mao kein Testament hinterlassen, da er aufgrund seiner Philosophie wußte, daß sich die Nachfolger ohnehin an nichts dergleichen halten würden. Der immerwährende Wandel trägt die Menschen ganz woanders hin, als sie gern möchten.
Die Wahrheit wäre lediglich das, was nötig ist, um als Lebewesen zu überleben. So gesehen wäre die gesamte technische Kultur ein grandioser Irrrum gewesen. In dieser Richtung liegt Robert Ardreys Erwägung: »Wenn es eine Hoffnung für den Menschen gibt, dann deshalb, weil wir Tiere sind.« 73 Damit unterstellt er, daß der animalische Instinkt mit dem Willen zum Leben wenigstens in einem Rest des Menschengeschlechts noch stark genug sein könnte, um per Anpassung auch die widrigsten Lebensbedingungen durchzustehen. In den Eiszeiten wird das nicht anders gewesen sein, aber es gab damals keine vom Menschen ersonnenen Gifte.
Die Grundbedingung für ein Überleben des Menschen wäre natürlich, daß große Teile des Pflanzen- und Tierreiches erhalten blieben. Doch diese Chance droht ihnen der Mensch zu rauben. Der atomare Komplex mit all seinen Langzeitwirkungen gefährdet den Bestand alles höheren Lebens auf unserem Planeten, nicht nur des menschlichen. Ein großer Atomkrieg mit der folgenden atomaren Nacht würde das Pflanzen- und Tierreich mitvernichten. Die Filme darüber gibt es schon. Vielleicht könnten auch dann noch primitive Insekten und Würmer Überleben sowie einige einfache Pflanzen. Auch über das weitere Leben in den Meeren läßt sich schwer etwas voraussagen. Wäre über die Millionen Jahre eine erneute Evolution


Elle ne parcourrait pas alors certainement les mêmes marches et ne pas produirait les mêmes genres dont nous pouvions encore faire la connaissance des heureux. Même s'il n'en vient jamais à une guerre atomique, il y aura, pourtant, une contamination de rayons des circulations de nature. 500 centrales nucléaires seront en service bientôt, et près de 2030, ils se trouveront comme les ruines rayonnants. Et combien d'est-ce que se seront encore ajoutés jusque là ? Certains exploseront comme à Tchernobyl ou de la manière encore plus mauvaise, seront détruits autre par le tremblement de terre ou les actions de guerre. Avec cela les alentours plus proches deviennent chaque fois complètement verstrahlt, et au cours du temps, le chiffre des taches si non habitables sur les cartes géographiques augmentera. Mais aussi l'échelle d'étiage totale du rayonnement augmentera obligatoirement.» Le danger d'une contamination radioactive de l'environnement par suite des accidents de réacteur nucléaire augmente aussi comme la possibilité d'une autre diffusion des armes principales«, le reportage »mettait Globalement en 2000« 74 à présent annuellement, les centrales nucléaires dans le monde produisent presque 100000 tonnes de Brennstäbe brûlés. La quantité accumulée atteindra jusqu'à 2030 près de trois millions de tonnes. En plus vient millions de mètres cubes des déchets faiblement radioactifs. Certains sous-produits des réacteurs ont Zerfallszeiten qui sont cinq fois plus longs comme la période de Geschichte.75 transmis Entre temps, des masses se trouvent déjà de cela dans le monde entier, ouvertement au-dessus du sol, dans le frais d'appui bassin (dont l'alimentation en courant ne peut pas s'arrêter) le plus souvent à côté des centrales atomiques, la plus petite partie dans des mines. Qui s'en occupera aux temps de nécessité prochains ? Où aux temps de bien-être actuels un stockage satisfaisant n'était même pas trouvé! La chimie est à un unique siècle à un "secteur de croissance" violent emporgeschossen. Si elle produit seulement autres cent ans dans l'intensité atteinte maintenant, des sols seront, des eaux et même l'air tellement des liens chimiques réalise que doivent mourir seulement de cela tous les genres. En plus viennent les métaux desquels annuellement six millions de tonnes est répandu sur l'atmosphère.
La personne devient d'abord au moyen des antidotes médicaux [385] pour ainsi dire pendant un moment se tiennent à flot. Mais aussi à lui l'eau saine et nourriture non empoisonnée sera à la disposition seulement rarement. C'est pourquoi, il est seulement une question du temps quand les gens dahinsiechen deviennent. C'est douteux si leurs restes sont capables de supporter des siècles jusqu'à ce que la nature puisse avoir digérée de nouveau les poisons et les rayonnements. Car les gènes de tous les êtres vivants endommageront plus ou moins au plus fort le rayonnement ultraviolet de l'espace cosmique, les isotopes de la fission nucléaire. Et quelles conséquences la manipulation de la personne avec les gènes aura, ne se fait pas prédire. Si ces trois Globalkalamitaten ne montent pas excessivement séparément et dans sa concomitance, les parties essentielles de la flore et faune, mais à peine la personne et dans aucun cas ne pourraient survivre à son mode de vie actuel. Ainsi qu'il semble à présent, la vie végétale et animale peut être sauvée seulement par une catastrophe rapide de la vie humaine. Mais il ne pourrait pas justement être une atomique! Cependant la décimation sur certains cent millions serait la condition (la survie des plus grands genres de reste. Son reste conditionne de nouveau le nombre des gens qui doivent en vivre. Quelque chose peut être prédit sur le futur air des pays. Des paysages de ruines maîtriseront l'image. Les ruines industriels visibles aujourd'hui même sont seulement les précurseurs du temps dans qui les paysages en seront équipés beaucoup plus près qu'aujourd'hui avec les restes des châteaux de chevalier médiévaux. Mais pendant que l'on peut quantifier celui-ci dans des mètres carrés, on devra calculer à ceux-là dans des kilomètres carrés. La question, qui devient un jour de cela, n'a jamais soi notre époque technique gesteilt. Aussi cela un exemple pour la personne l'incapacité d'administrer la planète. Devenaient inconsidérés et sans scrupules et sont construits dans quelques années de ruines pour des millénaires. La personne se retirant laissera la terre comme le champ de ruines. Ce qui deviendra des millions de villes pour des milliards de gens, Bert Brecht nous a déjà dit : »Des villes restera : par eux hindurchging, le vent. «76 Le même pressentiment avait aussi Friedrich Schiller77 : »Pendant des années aime, durent pendant des siècles la momie, Aime l'image trompant de l'abondance vivante bestehn, [386] Jusqu'à ce que la nature se réveille, et des lourdes mains ehernen A Gebäu creux la nécessité et le temps remuez, Une tigresse de la même façon, la grille de fer enfoncé Et la forêt numidischen se souvient tout à coup et terriblement, Si la fureur et la misère l'humanité se lève avec le crime Et dans la cendre de la ville cherche la nature perdue.« De la nature ne sera pas beaucoup à trouver malheureusement. Mais dans les débris des villes, des richesses se trouveront encore : Haches, marteau, le fait de scier, Schraubstöcke et autre témoin de métier, en plus des clous et fils. Aussi la commande des champs sera plus légère que dans l'âge de pierre où les gens tous les outils seulement péniblement se font mul3ten. Cependant le nombre disparaissant de gens de nouveau comme chasseur et collectionneur aura, peut-être, leurs moyens d'existence. Cependant il pourrait aussi être qu'aucune unique personne ne survit. Une idée, qui afflige elle-même pour Herbert George Wells, si une petite minorité »le témoin de la vie jusqu'à sa fin inévitable« ne restent même pas sollte.78 Il plusieurs ont déjà apparu qui saluent la fin de la personne; »ce qu'aucun espoir n'est plus, elle est capable d'être juste joyeux d'espoir«, ainsi les philosophes Münsteraner Ulrich Horstmann.» La déserte est imaginable«, n'écrit pas non plus-il 79 Pourquoi. Même l'absolu des gens ne se sont rien déjà imaginés depuis qu'ils commençaient à penser. Des philosophes, par exemple, Wilhelm Leibniz, se sont posé la question pourquoi n'est rien donc un peu et non au contraire ? A la recherche tôt des explications naissaient les mythes de création dans lesquels est raconté, comme de que Rien ne serait devenu la terre, en particulier la vie. Et presque chaque personne n'a Rien la peur devant auquel il est confronté toujours dans la conscience de la propre mort. Si Arthur Schopenhauer le credo bouddhique, »que nous ne serions pas là mieux, prend, alors est, bien, déjà »le dernier coup mat de l'esprit Certains voient [387] en cela le plan de Dieu qui ne se désirait Rien dès le début. Ainsi le philosophe jeune Philip Batz des pays de Main s'appelait et commettait à l'âge de 33 1876 résolument le suicide. Que cela devrait être pour Dieu seitsamer des quatre milliards d'années envoie ainsi près des 1000 millions de manières différentes dans la vie pour n'atteindre, finalement, Rien lequel il aurait pu avoir, pourtant, bien, sans chaque effort. Le vide est au contraire le souhait de diable, comme cela dit Mephisto : »J'aimais à moi pour cela le vide éternel. «81 La volonté à l'un des plus nouveaux vols à haute altitude trompeurs de l'esprit ne semble Rien être l'une de ses mutations. »Le paradis est l'absence de la personne«, l'écrivain français de roumain Emile Cioran médite où, pourtant, la nature n'a jamais été un paradis. Cela ne semble pas avoir couvert il comme Horstmann, sur la »félicité éternelle du pétrifié et des pierres« dans les essaims gerät.82 Nietzsche a déjà expédié ces penseurs qui veulent désavouer la vie: »Schwärmer Etranges qui voient le foin et objectif de la volonté dans la nécrose de l'humanité! «83 Dans l'argumentation de ce livre, selon la »loi des destins glissant«, nous pourrions voir en cela aussi une adaptation précédant à l'inévitable; une autre preuve de cela, puisque la personne elle-même sait encore gagner sur le positif absurde. Mais ici je m'aimerais mieux H. GRAMME. Wells branchent : Nous étions témoignés de la volonté en fief et mourrons autour de la vie en livrant. Cela ne change rien à notre connaissance assurée sur ce que nous perdrons la lutte. Les gens succomberont dans la lutte justement de cela parce qu'ils sont combattants trop sans égards. Autrement formule : Ils sont trop habiles à la survie sur un globe terrestre limité! Maintenant, 84 Les avalanches détachées données un coup de pied des personnes roulent hernieder et enterrent la vie sous eux-mêmes. Arrêter ils ne sont pas, nous pouvons peu nous disputer seulement au sujet de sa vitesse. Sur notre échelle de temps raccourcie, cela s'appelle : Bien que mille ans soient une garde de nuit, est long Mittsommertag des gens pendant que les cultures des derniers deux et demi millénaires fleurissaient, maintenant devant. Seulement une heure avant dans [388] du crépuscule montant aux lumières électriques allumées rayonnent dehors encore clair dans l'espace cosmique. Mais bientôt après l'irruption de l'obscurité approche le minuit — et les lumières s'eteindront. Ce qui se passera encore dans le reste de la nuit et comme bientôt, nous ne savons pas. Mais le jour riche en triomphe de la personne était mis par lui-même — inconsciemment — ainsi que ça n'ira plus aucun matin lumineux. La culture européenne, au-delà de quoi aucune augmentation n'est plus possible — comme déjà sur la grecque non, excepté notre supertechnique grandiose et mortelle — est dernier de cette planète. Nous avons dépassé son point culminant à l'instant si bien que nous puissions encore embrasser du regard de lui toute la pièce de théâtre fantastique qui a couru sur notre corps céleste solitaire plus que des milliards d'années et finit maintenant comme la tragédie.

[384] möglich? Sie würde dann sicher nicht die gleichen Stufen durchlaufen und auch nicht die gleichen Gattungen hervorbringen, die wir Glücklichen noch kennenlernen durften.
Selbst wenn es nie zu einem Atomkrieg kommt, eine Strahlenverseuchung der Naturkreisläufe wird es dennoch geben. Fünfhundert Kernkraftwerke werden bald in Betrieb sein, und um das Jahr 2030 werden sie als strahlende Ruinen dastehen. Und wie viele werden bis dahin noch dazugekommen sein? Einige werden wie das in Tschernobyl oder auf noch schlimmere Weise explodieren, andere durch Erdbeben oder Kriegshandlungen zerstört werden. Die nähere Umgebung wird dabei jeweils total verstrahlt, und im Laufe der Zeit wird die Zahl solch unbewohnbarer Flecken auf den Landkarten zunehmen. Aber auch der Gesamtpegel der Strahlung wird sich zwangsläufig erhöhen. »Die Gefahr einer radioaktiven Verseuchung der Umwelt infolge von Kernreaktorunfällen nimmt ebenso zu wie die Möglichkeit einer weiteren Verbreitung von Kernwaffen«, stellte der Report »Global 2000« fest.74 Zur Zeit produzieren die Kernkraftwerke in der Welt fast 100000 Tonnen abgebrannter Brennstäbe jährlich. Die angesammelte Menge wird bis zum Jahr 2030 um die drei Millionen Tonnen erreichen. Dazu kommen Millionen Kubikmeter schwach radioaktiver Abfälle. Einige Nebenprodukte der Reaktoren haben Zerfallszeiten, die fünfmal so lang sind wie die Periode der überlieferten Geschichte.75
Inzwischen liegen schon Massen davon in aller Welt herum, offen über der Erde, in Kühlhaltebecken (deren Stromversorgung nicht ausfallen darf) meist neben den Atomkraftwerken, der geringste Teil in Bergwerken. Wer wird sich in den kommenden Notzeiten darum kümmern? Wo nicht einmal in heutigen Wohlstandszeiten eine befriedigende Lagerung gefunden wurde!
Die Chemie ist in einem einzigen Jahrhundert zu einer gewaltigen »Wachstumsbranche« emporgeschossen. Sollte sie nur noch weitere hundert Jahre in der jetzt erreichten Intensität produzieren, dann werden Böden, Gewässer und sogar die Luft derart von chemischen Verbindungen durchsetzt sein, daß allein daran ganze Gattungen zugrunde gehen müssen. Hinzu kommen die Metalle, von denen jährlich sechs Millionen Tonnen über die Atmosphäre verbreitet werden.
Der Mensch wird sich zunächst mittels der medizinischen Gegengifte

[385] sozusagen eine Weile über Wasser halten. Aber auch ihm wird nur noch selten gesundes Wasser und unvergiftete Nahrung zur Verfügung stehen. Darum ist es nur eine Frage der Zeit, wann die Menschen dahinsiechen werden. Es ist fraglich, ob Reste von ihnen Jahrhunderte durchzuhalten vermögen, bis die Natur die Gifte und Strahlungen wieder verdaut haben könnte. Denn die ultraviolette Strahlung aus dem Weltraum, die Isotope aus der Kernspaltung werden die Gene aller Lebewesen mehr oder weniger stark beschädigen. Und welche Folgen die Manipulation des Menschen mit den Genen haben wird, läßt sich nicht voraussagen.
Sollten diese drei Globalkalamitaten einzeln und in ihrem Zusammenwirken nicht übermäßig steigen, dann dürften wesentliche Teile der Flora und Fauna überleben, doch kaum der Mensch und in keinem Fall sein heutiger Lebensstil. So wie es zur Zeit aussieht, kann das pflanzliche und tierische Leben nur noch durch eine baldige Katastrophe des menschlichen Lebens gerettet werden. Doch eine atomare dürfte es eben nicht sein! Die Dezimierung auf einige hundert Millionen wäre aber Voraussetzung des (Überlebens der meisten übrigen Gattungen. Deren Restbestand bedingt wiederum die Anzahl der Menschen, die ja von ihnen leben müssen.
Einiges kann über das künftige Aussehen der Länder vorausgesagt werden. Ruinenlandschaften werden das Bild beherrschen. Die schon heute sichtbaren Industrieruinen sind nur die Vorboten der Zeit, in der die Landschaften weitaus dichter damit bestückt sein werden als heute mit den Resten der mittelalterlichen Ritterburgen. Doch während man diese in Quadratmetern quantifizieren kann, wird man bei jenen in Quadratkilometern rechnen müssen. Die Frage, was wird dereinst daraus, hat sich unser technisches Zeitalter nie gesteilt. Auch das ein Beispiel für des Menschen Unfähigkeit, den Planeten zu verwalten. Unüberlegt und bedenkenlos wurden und werden in wenigen Jahren Ruinen für Jahrtausende gebaut. Der abtretende Mensch wird die Erde als Trümmerfeld hinterlassen. Was aus den Millionen von Städten für Milliarden von Menschen werden wird, hat uns schon Bert Brecht gesagt: »Von den Städten wird bleiben: der durch sie hindurchging, der Wind.«76
Die gleiche Ahnung hatte auch Friedrich Schiller77:
  »Jahrelang mag, jahrhundertelang die Mumie dauern,
  Mag das trügende Bild lebendiger Fülle bestehn, [386]
  Bis die Natur erwacht, und mit schweren, ehernen Händen
  An das hohle Gebäu rühret die Not und die Zeit,
  Einer Tigerin gleich, die das eiserne Gitter durchbrochen
  Und des numidischen Walds plötzlich und schrecklich gedenkt,
  Aufsteht mit des Verbrechens Wut und des Elends die Menschheit
  Und in der Asche der Stadt sucht die verlorne Natur.«
Von der Natur wird leider nicht viel zu finden sein. Aber im Schutt der Städte werden noch Reichtümer liegen: Äxte, Hammer, Sägen, Schraubstöcke und andere Handwerkszeuge, dazu Nägel und Drähte. Auch die Feldbestellung wird leichter sein als in der Steinzeit, wo sich die Menschen alle Werkzeuge erst mühsam anfertigen mul3ten. Vielleicht wird aber die verschwindende Anzahl von Menschen wieder als Jäger und Sammler ihr Auskommen haben. Es könnte aber auch sein, daß kein einziger Mensch überlebt. Eine Vorstellung, die selbst für Herbert George Wells bedrückend ist, wenn nicht einmal eine kleine Minderheit »Zeuge des Lebens bis zu seinem unausbleiblichen Ende« bleiben sollte.78
Es sind schon etliche aufgetaucht, die das Ende des Menschen begrüßen; »daß keine Hoffnung mehr ist, vermag sie hoffnungsfroh zu stimmen«, so den Münsteraner Philosophen Ulrich Horstmann. »Die Menschenleere ist vorstellbar«, schreibt er.79 Wieso auch nicht. Sogar das absolute Nichts haben sich Menschen schon vorgestellt, seit sie zu denken anfingen. Philosophen, zum Beispiel Wilhelm Leibniz, haben sich die Frage gestellt, warum ist überhaupt Etwas und nicht vielmehr das Nichts? Bei der frühen Suche nach Erklärungen entstanden die Schöpfungsmythen, in denen erzählt wird, wie aus dem Nichts die Erde, insbesondere das Leben geworden sei. Und so gut wie jeder Mensch hat Angst vor dem Nichts, mit dem er im Bewußtsein des eigenen Todes stets konfrontiert wird. Wenn Arthur Schopenhauer das buddhistische Credo, »daß wir besser nicht da wären, aufnimmt, dann ist das wohl schon »der letzte matte Stoß des Geistes<, von dem H. G. Wells spricht.80 Der Mensch hat in seiner Geschichte stets mit großem Geschick das Geschehen so gedeutet, als sei es »gottgewollt«. Insofern ist es durchaus nicht überraschend, wenn nun auch einige unseren unvermeidlichen Untergang als Sieg feiern möchten. Ja manche sehen [387] darin den Plan eines Gottes, der sich von Anfang an das Nichts ersehnte. So der jugendliche Philosoph Philip Batz. der sich Mainländer nannte und im Alter von 33 Jahren 1876 konsequent Selbstmord beging. Aber was müßte das für ein seitsamer Gott sein der vier Milliarden Jahre lang so um die 1000 Millionen verschiedener Arten ins Leben schickt, um schließlich das Nichts zu erreichen, welches er doch wohl ohne jede Anstrengung hätte haben können. Die Leere ist vielmehr des Teufels Wunsch, wie es Mephisto sagt:
»Ich liebte mir dafür das Ewig-Leere.«81 Der Wille zum Nichts scheint einer der neuesten trügerischen Höhenflüge des Geistes, eine seiner Mutationen zu sein. »Das Paradies ist die Abwesenheit des Menschen«, sinniert der rumänisch-französische Schriftsteller Emile Cioran, wo doch die Natur niemals ein Paradies gewesen ist. Das scheint er wie Horstmann nicht bedacht zu haben, der über »die ewige Seligkeit des Versteinerten und der Steine« ins Schwärmen gerät.82
Diese Denker, die das Leben desavouieren wollen, hat schon Nietzsche abgefertigt: »Sonderbare Schwärmer, die im Absterben der Menschheit das Heu und Ziel des Willens sehen!«83
In der Argumentation dieses Buches, gemäß dem »Gesetz der gleitenden Fügungen«, könnten wir darin auch eine vorauseilende Anpassung an das Unvermeidliche sehen; einen weiteren Beweis dafür, da der Mensch selbst noch dem Absurden Positives abzugewinnen versteht. Doch hier möchte ich mich lieber H. G. Wells anschließen:
Wir wurden von dem Willen zum Lehen gezeugt und werden um das Leben kämpfend sterben.
Das ändert nichts an unserem gesicherten Wissen darüber, daß wir den Kampf verlieren werden. Die Menschen werden in dem Kampf eben darum unterliegen weil sie allzu rücksichtslose Kämpfer sind. Anders formuliert: Sie sind zum Überleben auf einem begrenzten Erdball zu tüchtig!84 Die von den Menschen losgetretenen Lawinen rollen nun hernieder und begraben das Leben unter sich. Aufzuhalten sind sie nicht, wir können uns nur noch über ihre Geschwindigkeit ein wenig streiten.
Auf unserer verkürzten Zeitskala heißt das: Wenn tausend Jahre gleich einer Nachtwache sind, dann ist der lange Mittsommertag der Menschen, während dem die Kulturen der letzten zweieinhalb Jahrtausende blühten, jetzt vorüber. Die erst vor einer Stunde in

[388] der heraufziehenden Dämmerung entzündeten elektrischen Lichter strahlen noch hell in den Weltraum hinaus. Doch bald nach Einbruch der Dunkelheit naht die Mitternacht — und die Lichter werden verlöschen. Was im Rest der Nacht noch geschehen wird und wie bald, wissen wir nicht. Doch der triumphreiche Tag des Menschen war von ihm selbst — unbewußt — so angelegt, daß es keinen lichten Morgen mehr gehen wird. Die Europäische Kultur, über die hinaus keine Steigerung mehr möglich ist — wie schon über die Griechische nicht, mit Ausnahme unserer grandiosen und tödlichen Supertechnik — ist die letzte dieses Planeten. Wir haben ihren Höhepunkt gerade erst überschritten, so daß wir noch von ihm aus das ganze phantastische Schauspiel überblicken können, das auf unserem einsamen Himmelskörper über Milliarden Jahre gelaufen ist und nun als Tragödie endet.

Post-Petroleum Landscapes

64 Nietzsche in: »Über das Pathos der Wahrheit«, niedergeschrieben in den Weihnachtstagen 1872 und »in herzlicher Verehrung udn als Antwort auf mündliche und briefliche Fragen« Frau Cosima Wagner gewidmet. (1-759f) Vgl. die entsprechende Stelle in: »Über Wahrheit und Lüge im außermoralischen Sinne.« (1-875).
65 Liä Dsi 37.
66 Spengler 217.
67 Leonardo 8.
68 Leonardo 863.
69 Nietzsche 13-488. Vgl. 13-50: »Es sind schon viele Tierarten verschwunden; gesetzt, daß auch der Mensch verschwände, so würde in der Welt nichts fehlen.«,
70 Nietzsche 2-205f.
71 Nietzsche 2-324.
72 Klaus Mehnert über das Gespräch Maos mit Bundeskanzler Helmut Schmidt in Peking (»Welt am Sonntag« 30.11.1975).
73 Ardrey 289.
74 »Global 2000« 85.
75 »Global 2000« 85f.
76 Brecht 262.
77 Schiller: »Der Spaziergang«.
78 Wells 50.
79 Horstmann 27.
80 Wells 26,
81 »Faust II« (Goethe XII 291).
82 Horstmann 21.
83 Nietzsche 7-162.
84 »Sind wir zum Überleben zu tüchtig?«, so lautete der Titel einer »Spiegel«-Serie im Jahre 1990, Nr. 35-37.

Literatur
- Ardrey, Robert: »Der Gesellschaftsvertrag - Das Naturgesetz von der Ungleichheit der Menschen.« Molden, Wien 1970.
- Brecht, Berthold: »Die Gedichte.« Suhrkamp, Frankfurt am Main 1981
- Goethe, Johann Wolfgang von: »Goethe's sämtliche Werke in vierzig Bänden.« Cotta'scher Verlag Stuttgart- Tübingen 1840.
- Horstmann, Ulrich: »Ansichten von großen Umsonst.« Mohn, Gütersloh 1991.
- Nietzsche, Friedrich: »Sämtliche Werke - Kritische Studienausgabe.« Herausgegeben von Giorgio Colli und Mazzino Montinari in 15 Bänden. Deutscher Taschenbuch Verlag, München 1980.
- Leonardo da Vinci: »Tagebücher und Aufzeichnungen.« Paul List, Leipzig 1940.
- »Leonardo da Vinci in Selbstzeugnissen und Bilddokumenten« dargestellt von Kenneth Clark, Rowohlt Taschenbuch, Reinbek 1982.
- »Philosophische Tagebücher.« Rowohlt, Hamburg 1958.
Liä Dsi: »Das wahre Buch vom quellenden Urgrund.« Eugen Diederichs, Düsseldorf-Köln 1981.
Schiller, Freidrich: »Der Spaziergang.« Der Spaziergang" - http://gutenberg.spiegel.de/buch/3344/1.
Wells, Herbert George: »Der Geist am Ende seiner Möglichkeiten.« Amstutz, Herdeg, Zürich 1946.
Der Spiegel, Peter Brügge: »"Sind wir zum Überleben zu tüchtig«
http://www.spiegel.de/spiegel/print/d-13502027.html http://www.spiegel.de/spiegel/print/d-13500402.html http://www.spiegel.de/spiegel/print/d-13501364.html
- »Global 2000 - Report to the president.« 2001 Versand, Frankfurt am Main, 1980.

Source: http://gutenberg.spiegel.de/buch/3344/1
Friedrich Schiller: Der Spaziergang unter den Linden - Kapitel 1 Quellenangabetype essay booktitle Schillers Sämmtliche Werke, vierter Band author Friedrich Schiller year 1879 publisher J. G. Cotta'sche Buchhandlung address Stuttgart title Der Spaziergang unter den Linden pages 32-36 created 20021019 sender gerd.bouillon@t-online.de Schließen Navigation: Kapitel 1

Friedrich Schiller Der Spaziergang unter den Linden. (Aus dem württembergischen Repertorium 1782.) Wollmar und Edwin waren Freunde und wohnten in einer friedlichen Einsiedelei beisammen, in welche sie sich aus dem Geräusch der geschäftigen Welt zurückgezogen hatten, hier in aller philosophischen Muße die merkwürdigen Schicksale ihres Lebens zu entwickeln. Edwin, der glückliche, umfaßte die Welt mit frohherziger Wärme, die der trübere Wollmar in die Trauerfarbe seines Mißgeschicks kleidete. Eine Allee von Linden war der Lieblingsplatz ihrer Betrachtungen. Einst an einem lieblichen Maientag spazierten sie wieder; ich erinnere mich folgenden Gespräches:

Edwin. Der Tag ist so schön – die ganze Natur hat sich aufgeheitert, und Sie so nachdenkend, Wollmar?

Wollmar. Lassen Sie mich. Sie wissen, es ist meine Art, daß ich ihr ihre Launen verderbe.

Edwin. Aber ist es denn möglich, den Becher der Freude so anzuekeln?

Wollmar. Wenn man eine Spinne darin findet – warum nicht? Sehen Sie, Ihnen malt sich jetzt die Natur wie ein rothwangigtes Mädchen an seinem Brauttag. Mir erscheint sie als eine abgelebte Matrone, rothe Schminke auf ihren grüngelben Wangen, geerbte Demanten in ihrem Haar. Wie sie sich in diesem Sonntagsaufputz belächelt! Aber es sind abgetragene Kleider und schon hunderttausendmal gewandt. Eben diesen grünen wallenden Schlepp trug sie schon vor Deukalion, eben so parfümiert und eben so bunt verbrämt. Jahrtausende lang verzehrt sie nur mit dem Abtrag von der Tafel des Todes, kocht sich Schminke aus den Gebeinen ihrer eigenen Kinder und stutzt die Verwesung zu blendenden Flittern. Es ist ein unfläthiges Ungeheuer, das von seinem eigenen Koth, viele tausendmal aufgewärmt, sich mästet, seine Lumpen in neue Stoffe zusammenflickt und groß thut und sie zu Markte trägt und wieder zusammenreißt in garstige Lumpen. Junger Mensch, weißt du wohl auch, in welcher Gesellschaft du vielleicht jetzo spazierest? Dachtest du je, daß dieses unendliche Rund das Grabmal deiner Ahnen ist, daß dir die Winde, die dir die Wohlgerüche der Linden herunterbringen, vielleicht die zerstobene Kraft des Arminius in die Nase blasen, daß du in der erfrischenden Quelle vielleicht die zermalmten Gebeine unsrer großen Heinriche kostest? Pfui! Pfui! Die Erderschütterer Roms, die die majestätische Welt in drei Theile rissen, wie Knaben einen Blumenstrauß unter sich theilen und an die Hüte stecken, müssen vielleicht in den Gurgeln ihrer verschnittenen Enkel einer wimmernden Opernarie frohnen. – Der Atome, der in Platos Gehirne dem Gedanken der Gottheit bebte, der im Herzen des Titus der Erbarmung zitterte, zuckt vielleicht jetzo der viehischen Brunst in den Adern der Sardanapale oder wird in dem Aas eines gehenkten Gaudiebs von den Raben zerstreut. Schändlich! Schändlich! Wir haben aus der geheiligten Asche unserer Väter unsere Harlekinsmasken zusammengestoppelt; wir haben unsere Schellenkappen mit der Weisheit der Vorwelt gefüttert. Sie scheinen das lustig zu finden, Edwin?

Edwin. Vergeben Sie. Ihre Betrachtungen eröffnen mir komische Scenen. Wie? wenn unsre Körper nach eben den Gesetzen wanderten, wie man von unsern Geistern behauptet? Wenn sie nach dem Tod der Maschine eben das Amt fortsetzen müßten, das sie unter den Befehlen der Seele verwalteten; gleichwie die Geister der Abgeschiedenen die Beschäftigungen ihres vorigen Lebens wiederholen, quae cura fuit vivis, eadem sequitur tellure repostos.

Wollmar. So mag die Asche des Lykurgus noch bis jetzt und ewig im Ocean liegen!

Edwin. Hören Sie dort die zärtliche Philomele schlagen? Wie? wenn sie die Urne von Tibulls Asche wäre, der zärtlich wie sie sang? Steigt vielleicht der erhabene Pindar in jenem Adler zum blauen Schirmdach des Horizonts? Flattert vielleicht in jenem buhlenden Zephyr ein Atome Anakreons? Wer kann es wissen, ob nicht die Körper der Süßlinge in zarten Puderflöckchen in die Locken ihrer Gebieterinnen fliegen? Ob nicht die Ueberbleibsel der Wucherer im hundertjährigen Rost an die verscharrten Münzen gefesselt liegen? Ob nicht die Leiber der Polygraphen verdammt sind, zu Lettern geschmolzen oder zu Papier gewalkt zu werden, ewig nun unter dem Druck der Presse zu ächzen und den Unsinn ihrer Collegen verewigen zu helfen? Wer kann mir beweisen, daß der schmerzliche Blasenstein unsers Nachbars nicht der Rest eines ungeschickten Arztes ist, der nunmehr zur Strafe die ehemals mißhandelten Gänge des Harns ein ungebetener Pförtner hütet, so lang in diesen schimpflichen Kerker gesprochen, bis die geweihte Hand eines Wundarztes den verwünschten Prinzen erlöst? Sehen Sie, Wollmar! aus eben dem Kelche, woraus Sie die bittere Galle schöpfen, schöpft meine Laune lustige Scherze.

Wollmar. Edwin! Edwin! Wie Sie den Ernst wieder mit lächelndem Witz übertünchen!– Man sage es doch unsern Fürsten, die mit einer zuckenden Wimper zu vernichten meinen. Man sage es unsern Schönen, die mit einer farbigten Landschaft im Gesicht unsre Weisheit zur Närrin machen wollen. Man sage es den süßen Herrchen, die eine Handvoll blonde Haare zu ihrem Gott machen. Mögen sie zusehen, wie die Schaufel des Todtengräbers den Schädel Yoriks so unsanft streichelt. Was dünkt sich ein Weib mit ihrer Schönheit, wenn der große Cäsar eine anbrüchige Mauer flickt, den Wind abzuhalten?

Edwin. Aber wo hinaus denn mit dem allem?

Wollmar. Armselige Katastrophe einer armseligen Farce! – Sehen Sie, Edwin! Das Schicksal der Seele ist in die Materie geschrieben. Machen Sie nunmehr den glücklichen Schluß.

Edwin. Gemach, Wollmar. Sie kommen ins Schwärmen. Sie wissen, wie gern Sie da die Vorsicht mißhandeln.

Wollmar. Lassen Sie mich fortfahren. Die gute Sache scheut die Besichtigung nicht.

Edwin. Wollmar besichtige, wenn er glücklicher ist.

Wollmar. O pfui! Da bohren Sie gerade in die gefährlichste Wunde. Die Weisheit wäre als eine waschhafte Mäklerin, die in jedem Hause schmarotzen geht und geschmeidig in jede Laune plaudert, bei dem Unglücklichen die Gnade selbst verleumdet, bei dem Glücklichen auch das Uebel verzuckert. Ein verdorbener Magen verschwätzt diesen Planeten zur Hölle, ein Glas Wein kann seine Teufel vergöttern. Wenn unsre Launen die Modelle unsrer Philosophieen sind, – sagen Sie mir doch, Edwin, in welcher wird die Wahrheit gegossen? Ich fürchte, Edwin, Sie werden weise sein, wenn Sie erst finster werden!

Edwin. Das möcht' ich nicht, um weise zu werden!

Wollmar. Sie haben das Wort »glücklich« genannt. Wie wird man das, Edwin? Arbeit ist die Bedingung des Lebens, das Ziel Weisheit, und Glückseligkeit, sagen Sie, ist der Preis. Tausend und abermal tausend Segel fliegen ausgespannt, die glückliche Insel zu suchen im gestadlosen Meere und dieses goldene Vließ zu erobern. Sage mir doch, du Weiser, wie viel sind ihrer, die es finden? Ich sehe hier eine Flotte im ewigen Ring des Bedürfnisses herumgewirbelt, ewig von diesem Ufer stoßend, um ewig wieder daran zu landen, ewig landend, um wieder davon zu stoßen. Sie tummelt sich in den Vorhöfen ihrer Bestimmung, kreuzt furchtsam längs dem Ufer, Proviant zu holen und das Takelwerk zu flicken, und steuert ewig nie auf die Höhe des Meeres. Es sind diejenigen, die heute sich abmüden, auf daß sie sich morgen wieder abmüden können. Ich ziehe sie ab, und die Summe ist um die Hälfte geschmolzen. Wieder Andere reißt der Strudel der Sinnlichkeit in ein ruhmloses Grab. – Es sind diejenigen, die die ganze Kraft ihres Daseins verschwenden, den Schweiß der Vorigen zu genießen. Man rechne sie weg, und ein armes Viertheil bleibt noch zurück. Bang und schüchtern segelt es ohne Compaß, im Geleit der bezüglichen Sterne, auf dem furchtbaren Ocean fort, schon flimmt wie weißes Gewölk am Rande des Horizonts die glückliche Küste, Land ruft der Steuermann, und siehe! ein elendes Brettchen zerbirstet, das lecke Schiff versinkt hart am Gestade. Apparent rari nantes in gurgite vasto. Ohnmächtig kämpft sich der geschickteste Schwimmer zum Lande, ein Fremdling in der ätherischen Zone irrt er einsam umher und sucht thränenden Augs seine nordische Heimath. So ziehe ich von der großen Summe eurer freigebigen Systeme eine Million nach der andern ab. – Die Kinder freuen sich auf den Harnisch der Männer, und diese weinen, daß sie nimmermehr Kinder sind. Der Strom unsers Wissens schlängelt sich rückwärts zu seiner Mündung, der Abend ist dämmerig wie der Morgen, in der nämlichen Nacht umarmen sich Aurora und Hesperus, und der Weise, der die Mauern der Sterblichkeit durchbrechen wollte, sinkt abwärts und wird wieder zum tändelnden Knaben. Nun, Edwin! rechtfertigen Sie den Töpfer gegen den Topf; antworten Sie, Edwin!

Edwin. Der Töpfer ist schon gerechtfertigt, wenn der Topf mit ihm rechten kann.

Wollmar. Antworten Sie.

Edwin. Ich sage, wenn sie auch die Insel verfehlt, so ist doch die Fahrt nicht verloren.

Wollmar. Etwa das Aug an den malerischen Landschaften zu weiden, die zur Rechten und Linken vorbei fliegen? Edwin? Und darum in Stürmen herumgeworfen werden, darum an spitzigen Klippen vorbei zu zittern, darum in der wogenden Wüste einem dreifachen Tode um den Rachen zu schwanken! – Reden Sie nichts mehr, mein Gram ist beredter als Ihre Zufriedenheit.

Edwin. Und soll ich darum das Veilchen unter die Füße treten, weil ich die Rose nicht erlangen kann? Oder soll ich diesen Maitag verlieren, weil ein Gewitter ihn verfinstern kann? Ich schöpfe Heiterkeit unter der wolkenlosen Bläue, die mir hernach seine stürmische Langeweile verkürzt. Soll ich die Blume nicht brechen, weil sie morgen nicht mehr riechen wird? Ich werfe sie weg, wenn sie welk ist, und pflücke ihre junge Schwester, die schon reizend aus der Knospe bricht. – –

Wollmar. Umsonst! Vergebens! Wohin nur ein Samenkorn des Vergnügens fiel, sprossen schon tausend Keime des Jammers. Wo nur eine Thräne der Freude liegt, liegen tausend Thränen der Verzweigung begraben. Hier an der Stelle, wo der Mensch jauchzte, krümmten sich tausend sterbende Insekten. In eben dem Augenblick, wo unser Entzücken zum Himmel wirbelt, heulen tausend Flüche der Verdammniß empor. Es ist ein betrügliches Lotto, die wenigen armseligen Treffer verschwinden unter den zahllosen Nieten. Jeder Tropfe Zeit ist eine Sterbeminute der Freuden, jeder wehende Staub der Leichenstein einer begrabenen Wonne. Auf jeden Punkt im ewigen Universum hat der Tod sein monarchisches Siegel gedrückt. Auf jeden Atomen les' ich die trostlose Aufschrift: Vergangen!

Edwin. Und warum nicht: Gewesen? Mag jeder Laut der Sterbegesang einer Seligkeit sein – er ist auch die Hymne der allgegenwärtigen Liebe. – Wollmar, an dieser Linde küßte mich meine Juliette zum erstenmal.

Wollmar (heftig davon gehend). Junger Mensch! Unter dieser Linde hab' ich meine Laura verloren